ne

Ce film contient, en treize séquences, l’essence de son univers intime et artistique, ses quêtes, ses trouvailles et ses errements, dans un registre qui combine humour et douleur.
Les images qui défilent sont ponctuées par la voix de l’artiste. C’est en les regardant qu’il a articulé un nouveau langage, performance orale qui a duré près d’une année d’enregistrement, de montage et a ensuite été retranscrite avec son orthophoniste…

D. Falgoux

 

ne - Nuit blanche au gymnase Thomas Mann Paris. Projection décalée du films sur trois écrans. 2012

ne – Nuit blanche au gymnase Thomas Mann Paris. Projection décalée du films sur trois écrans – © Denis Falgoux 2012

Denis Falgoux a développé depuis de nombreuses années un travail généreux, prolifique, multiformes où le spectateur attentif arrivait à se perdre.
Un travail plastique protéiforme : peinture, sculpture, dessin, photo, vidéo, tout un corpus d’un langage en mutation, parfois onirique, parfois symbolique, parfois humoristique.
Et le cinéma, comme acteur ou dans la construction de décors où il va participer à des projets collectifs pour la réalisation d’œuvres communes.
Un jour, un grain de sable a tout remis en question : tout mélangé, tout recomposé…
Accident vasculaire cérébral. Cette attaque a provoqué un trouble du langage.
Denis Falgoux en a pris avantage. Il a tout de suite compris que ce choc ne provoquait pas une destruction mais une reconstruction. À partir du disque dur de son ordinateur, il a fait apparaitre sur le mode aléatoire les images de son corpus d’œuvres et s’en est servi de support pour créer des discours poétiques, reconnecter son disque mou, recomposer sa plastique cérébrale.
Les mots se réinventaient. La parole devenait créative. Le sens apparaissait.
C’était devenu le lieu de l’exploration et de la recherche, mais aussi celui de la cristallisation du sens.
De façon paradoxale son travail artistique, parfois disparate, prenait un sens commun, devenait une œuvre, un projet collectif.

aéroport à quai mais remandes de l’aéroport immédiatement arrivé sur cette terre par un bel avion qui n’avait avait compris la position se tomber sur la terre une bel atégition et se jamais se retrouver horizontal et bien arriver verticalé dans cette terraire pour ne pas trouver sur la terre n’importe qui qui ne pouvait pas construire tout ce qu’il pouvait et tout ce qu’il n’avait que dans la tête à construire comme il ne pouvait on construit toujours sans ses pieds on construit avec sa sête pourquoi pour réfléchir à son toi ne pas manger sur son toit ne pas manger toujours à côté de son poids le bien accrocher sur la maison et le bien fermer avec double ter et ne se dire qu’on ne pourrait jamais rien dire d’autre que de bien fermer tout ça à triple tir refermer c’est aussi se trouver devant la porte fermée essayer d’entrer envoyer dans la cheminée ce qu’il n’y avait pas toujours dans la hotte se per deuler pour un noël et un petit torel noël un petit teur noël sans sa barbe et sans son truné et sans ses êtres et ses airères les rères ont laissé dans leur yelle la trace azionolashk qui ne disait que rien de l’autre nuit et qu’il ne pouvait rien de l’autre jour jour bleu et jour et blanc et jour c’est la même chose que confondre et que se dire entre les deux le jour nuit et du nuit jour

ne ; aéroport jour, 2’03” – de Denis Falgoux.– (Tous les films ne en bas de page.)

Ainsi, des militants, dont je fais partie, ont commencé à adhérer apportant leurs plaisirs et leurs compétences. De l’orthophoniste à la graphiste amoureuse de langage, du traducteur, chacun a voulu apporter son regard, sa participation et sa contribution à l’œuvre de Denis, afin de diffuser au plus grand nombre, via des expositions, des éditions, des films,…

ne 2009 à vidéoformes médiathèque Hugo Pratt installation d’un des poèmes ne – Rien ventre, 7 affiches encerclant la salle de projection du film, 3 x 1,4 m

Mais pourquoi ces militants se retrouvent derrière des images et des textes dont le sens est contrarié par l’accident, par la plastique et la poétique ?
Très certainement à cause de l’émotion dégagée alors que rien n’est imposé. Très certainement par le plaisir de se perdre dans des images et des textes non formatés, inattendus mais intimes. Très certainement par envie de faire partager leurs plaisirs et leurs émotions. ne est devenu le slogan d’un parti poétique.
Pierre Grand
 

ne - phylactère textes - © Denis Falgoux

ne – © Denis Falgoux ; 2013 au musée Roger Quillot, Clermont-Ferrand – installation d’un des poèmes ne C’est vie, phylactères en spirale, 500 x 500 x700 cm

 

ne - phylactère textes - © Denis Falgoux - Musée Roger Quillot, Clermont-Ferrand

ne – phylactère textes – © Denis Falgoux – Musée Roger Quillot, Clermont-Ferrand

 

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(non édité à ce jour).

 


VIDÉOS ne PAR SECTIONS

ne - et dos

et non et non rien ne pourra arriver c’est la dernière fois qu’on a pu marquer sur ce que nous avions trouvé ce qu’il nous restait de plus et de plus et de plus de plus que nous avions dans notre magasin cet animal dans ce magasin nous avait bien dit qu’ils étaient très très très jolis en morceaux même si nous n’avions peur de ce qu’il nous disait à chaque fois que nous allions pouvoir l’acheter et le manger comme on fait aux chinois des fois manger tout ce qu’il y a dans le chien même si on n’y croit pas on pourrait des fois en faire un petit sac et pis non rien ne fait de cela puisque la peublicité que nous disions sur le chien nous faisait croire que nous étions autre chose à chaque fois que l’on disait que de l’autre côté du pilier rien ne pouvait tenir dans ce magasin même si les clients au loin nous ne les connonssions pas bien on devait les regarder au mieux les regarder très très très très très très près qu’est ce qu’il se passait dans leurs yeux et dans leur cœur et dans leurs oeils mais des fois rien n’apparaissait même s’ils se disaient que les détectises ne pouvaient pas arriver à chaque fois que l’œil passait pas la porte et que des fois rien n’arrivait à eux rien ne pouvait être dans leur cœur ils étaient cois chaque fois de ce foie que je te pouvais pas voir que là-bas tout au long du magasin la bière qu’il restait et bien je voulais la voler la voler la dernière fois je l’aurais bu je l’aurais peut-être bu avec les copains et les copines qu’il y avait là dans fond moi ils avaient dit non trois nous étions trois oui deux d’un côté et un avec celui-là que nous voyons des fois à la télévision oui avec cette copine à lui qui est les copains mais oui alors les abois que nous avons comme habits qui sont pas toujours fins qui vont bien au chien qui vont aussi aux hommes qui ne sont pas toujours très beaux et bien cette fois c’est la dernière fois que je vais prendre cet habit là puisqu’il ne me va pas bien et ben je serai trop petit ben je le prendrai quand même sur mon dos

 

ne - stop église

stop à cette représentation toujours instranciée inspirée de la lumière et de l’ombre partager son image disparue qu’il faut encore se souvenir de ce qu’il ne reste rien de ce qu’il a été dit dire ce que l’on pense être loin ne s’est encore une fois rapproché rapproché pourquoi de se donner en spectacle qu’il pense être ressortir de son vêtement et partir en dehors de ça ne s’est pas être fe faire moquer de cette maladie qui se voudrait être l’image disparue la représenter sur le ciel se faire prendre pour une pomme et sur une tatate d’une tomate n’est pas le crose et le plus beau légume qui se soit mangé et ne rien n’est défi et rien n’est impensable et manger les deux sont bons le jambon dans le papier tsorbé lequel est tombé de la cuisse et s’est fait transformé en jambon et ne s’est jamais été digéré par cette forme qui lui prenait comme un coin de jambon qu’il n’avait jamais digéré alors ce recret et ce regard sur la nourriture interdite qu’il se fallait peut être ne jamais manger et décider de prier pour ça retrouver la santé en partie et de se trouver dans la plus belle santé que l’on n’avait jamais eu pu reprendre et que la dernière fois pouvait devenir une instron une insongeance et de vomi de toutes ses pieds qui ne restaient jamais dans le moi regarde pas ce qu’il t’arrive sur se qu’il ne s’est jamais passé puisque tout peut partir et ne jamais revenir sur ce qui est parti là-bas au fond de l’église et rien ne s’est caché dans le début de l’entrée de l’église

 

ne - ce cuisine

ce n’est pas un carré c’est un recangle un nombre de reptangles le rectangle qui te pourrait t’entourner de ton corps et te dire que tu n’as que des pieds ou que des prends la couleur du coup de cœur du tourle autol de la france á noël les petites petites peurles étaient tombées sur mon visage avaient quitté le sapin et au pied de ce gâteau qui était un cateau de la buche que le rien n’avait pu scier ni les nainges n’avaient pas dit qu’ils avaient quitter leur nuit et leur ouvrange sous la terre rien ne leur disait que le pouvoir dire á qu’ils s’étaient accrochés ou avaient coincé dans leur tête avec cet étau un petit bavrange un toit qui se trouvait sans monre et sans mur sans pouvoir le retrouver ils s’étaient séparés au bord de l’eau et avaient traversé ce bervige et tombés sur la porte fermée et se retrouvaient tous ensemble pour décider de la suite et un seul avait prêtement décidé de rester rien ne le perpetronsionlait de la pluie et l’avec la peinture blanche avait pris leur l’image et l’avait dit que le haut était allé dans les arbres et le bas n’était pas blanc c’était son tablier qu’il avait pris pour du blanc il ne savait pas peindre avec le tableau de cuisine

 

ne - encore carte

encore à carreaux de trois sur des rectangles de cacher le rectangle et le triangle se cacher derrière ne se pas montrer que c’était le cœur que l’on montrait de ces deux mains de devin devant ces mains il y avait un queue et sur son des pieds de devant un tête sur ses deux pieds sur son corps des deux pieds quatre pieds quatre jambes et un pied qui clan et qui sent qui sent du noir de ses trop revenus de derrière quand on ne sait plus qu’est ce qu’il se passe derrière et que l’on peut ne peut pas doubler ce qui s’est passé derrière soi-même il faudrait ce pourtant avec choix pour noël se dire que le ce petit couteau un peu de noël et qu’il se dirait mais qu’il se ferait rire ce rien n’arriverait sur la soleil sans qu’il n’y ait rien il attendrait de pouvoir passer ces deux pieds de tomber de très haut de son parachote et arriver comme ça sur sa tête sur la tête des prendrait se tomper sur son carnet de dessins et encore une fois louper sa chasse et se dire que de pourait encore tompler à côté de ma chaise et sans pouvoir en achier et en tomber entre ses deux pieds sans pouvoir s’asseoir entre chaussures et entre chaises et on se trouvait là-bas pour noël puisque tout est arrivé les canards se tombaient de la petitre chose qui n’est pas plus haut que ça ils étaient tout petits pour pouvoir se dans la verre ils étaient larges comme ça ils n’avaient jamais pu tenir entre les deux ils étaient énormes en été pour pouvoir descendre de là pour aller descendre en bas et monter en haut sans faire sans faire et descendre et monter sans se demander qu’est ce qu’on fait dans cet escalier et dans cet échellier et pour voir si ça rejoint les deux lieux qui sont vides et qui sont pleins qu’est ce qui se passe si l’on est monté et qu’est ce qui se passe si c’est là-haut que va s’passer si c’est en bas et qu’est ce que c’est si en haut en bas enfin que se passe-t-il entre ces deux espaces puisque on ne peut les destricrer les descripir on leur carte la carte sur laquelle on peut dire que le début est là de la carte et le début est là et le fond est là-bas où sont arrivés les gâteaux et où sont arrivés les cadeaux et cet endroit s’est arrêté la fin de la carte

 

ne - encore savoir

encore une crise qui s’ait quand même devant l’homme qui s’est retrouvé avec une trait sur son tête sur son traite qui voulait rattraper tout ce qui trouvait devant lui pour pouvoir ne pas tomber par terre l’homme il lui a dit c’est non sur ta bouche que tu dois parlir ce que tu vois mais rien du tout qui soit le qu’il soit en carton ou même derriére là comme ce corps qui n’est même pas tombé puisqu’il était là sous le ciel et pis que là son œuvre était pas par terre non elle était pas par terre parce qu’elle jamais elle était venue elle était partée là-haut dans une très très très très grosse petite hauteur de l’usine qui n’était pas devant elle et qui était faite comme un petit caca mais qu’il avait pas déssiné parce qu’il savait pas dessiner des cacas il faisait tout sur comme lui il faisait des portraits comme lui en travers qu’il voulait faire sauter même s’il n’avait pas voulu chanter ce qu’il passait il ne voyait pas tout il essayait de voir mais c’était pas sûr qu’il voyait comme d’un seul œil ou alors de la moitié de sa tête qu’il voulait voir quoi il voulait voir ce qu’il y avait dans ce ciel un oiseau qui n’était pas un oiseau mais peut être une grenoulle non une saucisse ou alors dans sa peut être dans son regard merveilleux qu’il voyait ça sur sa tête tomber de la mer et pis s’asseoir par terre ou c’est qu’il pouvait regarder tout autour de lui même s’il se croyait dans la mer ou dans le cielc les choses n’étaient pas toujours les mêmes c’était aussi des fois une crise une vraie très très très très très compliquée et les trois bleus qui n’étaient pas même pas là il ne rien n’avait rien et tout était derrière lui il ne voyait pas ce qu’il se passait derrière lui voilà il ne savait même pas s’il pouvait partir là-bas derrière l’arbre et qu’il ne voulait rien savoir

 

ne - que tout

que se passe-t-il dans cette chose là de pommes de terre à carreaux le tiangle qui n’est pas une pyranigle et c’est ni c’est centré ni les petites distritres et non plus les animaux de ce pays qui est l’egypte dans l’egypte les tiroirs et aussi les tiroirs ne sont jamais par terre et ils n’ont jamais vu ce que c’est que les autovoitures bleues et ni ont fait des signes à l’huminité entière ils ont décoré les petites père noël de met en mettait des lampions sur l’arbre mais aussi ont perdu tout ce qu’il y avait dans leur pyranies ils ont voulu aller chercher là-haut encore au-dessus du ciel les hommes qui n’étaient pas des dieux mais qui pouvaient devenir n’importe quoi dans les églises qu’ils n’avaient jamais rien fait mais bien sûr que c’était autre chose qu’ils avaient fait rien ne leur arrivait si des fois des choses très dures une chose à laquelle ils ne s’endaient pas la fête leur n’était pas rendue ils l’avaient perdue oui bien sûr qu’elle était perdue parce qu’ils avaient dit avec ce qu’ils connaissaient d’eux en se rempler de leur ciel pour pouvoir descendre là-bas au ciel non mais au terre le terre n’est pas ce de que l’on croyait mais c’était trop trop trop trop bas n’en pouvant jamais rien en voir à part des fois où on pouvait regarder s’il n’est n’avait pas disparu mais rien ne pouvait se trans- port faire parce que les inomitri surlestes avaient déjà vu par terre tous les cheveux que tout le monde avait tombé oui parce que tout ce qu’il puvaient faire c’était partir avec tout ce qu’ils avaient dans leurs petits sacs et ils n’amenaient leurs animaux pour pouvoir les donner et pis les sacrifier devant dieu qu’ils allaient dire que de toute façon tout ce qui alla été desprendre complètement défunu et ben naut fois que ce qui devait définir et ben tout à fait défernu jusqu’à la dernière fois dans ce petit sac à toi qui n’avait rien du tout voilà ce que j’ai vu la dernière fois qui m’est arrivé c’est tout

 

ne - celui seveux

celui qu’il se croyait pêtre être celui qui était l’omre mort avait toujours la fête avec lui dans son ventre il ne savait pas que quand il était vide il n’y avait rien dans son ventre parce que tout arrivait dans cette industristre qui n’arrivait sur sa vigieule toutes les esprits toivles qui devenaient de sa maladie du ventre rien ne pouvait voir puisqu’il pleurait et qu’il ploraient quand ils avaient trop mangé de ce qu’il se passait dans son assiette ce qui se passait dans son assiette avait eu voie de la cubulisitation qui est affreuse à voir quand on pouvait trop manger ce qu’ils savaient jamais vu dans le mariage entre l’orage et puis le papier qu’il ne se le te trouvait jamais dans la fusée qui avait l’amené là-haut dans la galgacie autour de ce qu’il pensait être ce qu’il y avait de plus beau dans la salsétuage dans cette petite fusée qui pouvait à tout moment retomber le loin et retrever retrouver tous ceux qu’il avait laissé au cieul et au soleil entre l’espace qu’il n’avait jamais vu entre deux ils essayaient tout le temps de se rapproprocher de ce qu’il se croyait différent la lumière avait de leur et dit que tu pouvais se rretrou- vrer peut-être loin s’ils se trouvaient et se retrouvaient et se retrouvaient plusieurs fois sur eux-mêmes jamais ils avaient trop trouvé ces choses là très vraiment officielles ils lui avaient dit dans son petite oreille ne fais pas attention à ce danger qu’il se carde dans ton nez ou dans tes beux yeux que tu as qui te ressemblent au poumin que tu aurais du tomber cette fois sans parler qu’à chaque fois que tes pieds ne sont sans jambes pour aller au plus loin possible courir et courir à chaque fois que tu aurais pu penser que le courir serait devenu l’obsessonielgeance de la perfictiole de chaque fois que l’on s’arrête pour regarder courir le rien qui se court avec ce que tu as de plus beau dans tes seveux

 

ne - quand oreille

quand dit-on à chaque fois que l’on en dit en dit-on deux fois la même chose ou en dit-on rien de ce qu’il a été entendu que dit-on de ces choses là qui nous aventrusent une chaque fois que rien ne nous aplargerer il n’y aura rien de ces tous ceux-là puisque rien ne va mais qu’en dit on de la deuxième chose que l’on avait dit je ne sais plus ce qu’on avait dit alors nous avions dit que tout ne pouvait pas arriver dans mon oreille et que tout avait disparu de mon sieur qu’aurait-il dit sur cette chose qui ne pouvait pas appartaire et qu’il aurait du dire que tout ne pouvait pas disparaître comme cela puisqu’il restait aussi une possobilité qui n’était jamais celle que à laquelle on pensait que rien ne pouvrait nous dire que il avait perdu les plus belles choses qu’il y avait dans sa tête elles s’étaient enfouies il avait mis sous son une pierre et qu’il ne s’en rappellerait jamais et que il aurait pu penser ou inventer des histoires dans cette capuche qu’il à laquelle rien ne se trotrouvait et que l’on recrouvait pas qui ne ressemblait au moins à rien de plus qu’à rien d’autre de ces deux choses incroyables il ne se passait pas pour la poucelle ou la poupelle ou celle qui se prenait pour le celui qui ou celui qui n’avait jamais dit d’autre rien que sa bouche était tue et qu’elle s’était mis là sous la lumière et qu’elle n’apparaîtrait pas plus que dans les gros coins et que les deux coins pourraient monter un peu là-haut sur le ciel et sur le dofoi qui n’avait jamais dit d’autre que ce quenous avions vu pouvait être partagé ou du moins que rien n’avait pensé à cette chose là existante rien n’avait disparu ou alors avait réapparateru sur ce qu’il n’y avait jamais eu de plus véritable que celui de ce marin qui se pronait là-bas sur la montagne avec son ta copain qui lui avait dit viens avec son sursaucoin et nous partirons dans le chardin chercher les œufs qu’ils n’avaient jamais perdu et qu’ils avaient tru dans une petite main grande comme ce qu’on avait trouvé dans le formage de la chevrette en or qui se prenait pour celle avec laquelle on aurait pu faire des cochonneries dans ce qu’il y avait de plus beau dans son cerveau ce qu’il n’avait jamais pu dire avec ce qu’il s’était cousu et qu’il ne tienpeindrait pas plus dans cette maison sur le ventre sur laquelle rien n’avait pu rentrer jusqu’au fond et que tout pouvait perdre rien ne se retrouvait mais s’il n’y avait jamais eu à retrouver et bien nous aurions une dernière fois fait connaissance de cette florince et celle qu’avec j’aurais pu mourière nous aurions décidé de nous retrouver à chaque fois ou à chaque fois nous n’aurions pu nous séparer ou alors se séparer pour être loin de ce que nous avions passé être ce qu’il y avait de plus lourd à porter sur la route sans écraver les plus belles petites poupées que nous avions perdu comme les autres avec leurs cheveux de poupée que l’autre avait perdu à la télé car il ne retrouvait jamais son courlecage qu’il avait perdu il ne le retrouverait peut-être jamais cette fois il avait encore dit que il le retrouverait les trois s’étaient perdus il se disait mais non j’ai rien dit mais si tu as dit que tu avais encore une dernière fois jeté en l’air un texte tu ne l’as rien voulu lire avec un demi baguette de pain qui s’était pas férié quand elle n’avait jamais dit ce qu’il y avait plus faim puisque de toute façon le passage n’aurait jamais eu faim au ventre de son oreille

 

ne - rien ventre

rien n’arrive s’il ne peut pas te tire que ne peut pas te dire d’où viens-tu du chardedien du chardien ou du jardin du jardin où le soleil avec ses yeux et pis son sexe énorme planté comme il l’avait sur son nez ne pouvait rien dire de ce qui se tourtait autour de lui tout avait disparu mais rien ne pouvait encore revenir le soleil se prenait pour un arbre plein de racines qu’ils allaient chercher au loin leur yeulle et pis loin aux cieux ce qu’il y avait à l’horizon l’horizon fuyait il fuyait au plus loin au plus loin le loin enfermait ce qu’ils avaient pu trouver de pire ils avaient caché ce qu’il y avait loin à l’horizion des choses qui n’avaient pas toujours été aussi beau comme tout le reste de la terre sur la terre rien n’arrivait il y avait des fois des choses qu’il ne croyait pas et pis des fois l’œuvre qui n’avait jamais été beau à côté de l’homme et ben elle était tombée sur ce que l’on croyait être peut-être la coiffure ou alors le dentiste qui n’avait jamais rien vu il se disait que l’on pouvait remplacer ce qu’il y avait dans la bouche ou alors la jeter si rien ne se voyait que des fois les dentistes aimaient bien peut-être regarder au fond de la gorge ce qu’il tombait au fond de son ventre

 

ne - toujours pensée

toujours partir dans la bonne direction sans se donner de bonnes di di dissancions la distancion entre le haut et le bas n’est jamais aussi proche l’une de l’autre elle se sépare de ce que l’on a pu dire et de ce qu’il reste à dire qu’avez en vous dire de ce qui nous restait dans ce solieur et les choses est interdimables à dire puisqu’elles pourraient se retomber sur elles-mêmes et ne pas apparaître puisqu’elles avaient encore une fois disparues dans ce qu’elles lui restaient un partie d’eux-mêmes celle que l’on avait oubliée ou alors l’ombre de cette tête que l’on croyait pouvoir disparber mais cette la tête appla- raissait dans la maison qu’elle avait pouvu décider qu’apparaître elle de ces petits poteaux qu’elle avait cru être sur son doigt mais non ils n’étaient pas son doigt ils avaient même pas fait d’ombre autour d’eux regarder cette chose la pouvait se dire qu’elle avait peut-être disparue le soisseau le soriel ou le solmeniel lui avait bien dit regarde cette tête dont apparaît auterre de lui il ne lui reste rien pour à part se souvenir de lui rien même le rien ne se pas dit comme ça la maladie est toujours très rigolette les doisieaux ou les docteurs que ne me disent que le rien ne peut apparaître et que la nourriture est toujours celle que je crois être la bonne pour moi et bien ne l’est pas toujours dit à l’église elle a été disparue de l’église puisque son image avait pas été mangée elles avaient été peut-être vomies ou à partie ou à une autre partie d’à côté qui se disait regardez cette chose elle ne se voit pas mais elle se distingue forcément puisque quand on rit de la nourriture et bien elle peut nous trendre très sandiant le sandiant c’est comme ce petit bifteck que l’on aurait mangé si l’on avait le droit de manger du bifteck mais c’est peut-être la charcuterie la plus mauvaise pour la santé que dire de cette santé quand on le mange avec ses deux mains et pis qu’on se trompe de la troufiture et de l’ouverture de cet endroit de la nourriture qui n’est jamais été au bon endroit par où rentre la nourriture ou alors par où sort-elle puisque si elle doit encore rester dans notre corps sans dire que le plus beau qui reste en dehors de cette conversation c’est toujours pas toujours des crêpes la crêpe c’est toujours prêt pour une autre anumélage l’animal qu’il croit être un légume et qui s’était transformé dans une chèvre belle qui n’avait pas de pis qui ne donnait pas de lait tout pouvait ne pas être mangé dans le chartre et qui se sépandait de ses pensées

 

ne FILM COMPLET, 33’51”

ne ; FILM COMPLET, 33’51” – © Denis Falgoux.

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